Avortement
Le Canada est l’un des rares pays au monde à ne pas avoir de restrictions légales sur l’avortement. Par conséquent, les avortements peuvent légalement être pratiqués à n’importe quel stade de la grossesse. Il est même parfaitement légal de tuer un bébé à naître pleinement développé au cours du troisième trimestre d’une grossesse, un bébé qui serait viable s’il naissait prématurément.
On ne peut pas dire que c’est « mon corps, mon choix » dans de tels cas. Il y a un autre corps, un autre être humain presque pleinement développé et doué de sensation qui est impliqué. Il s’agit d’un infanticide.
Cette absence d’encadrement légal est en décalage avec les lois des autres pays civilisés, où l’avortement est limité après le premier trimestre et les avortements tardifs sont interdits sauf circonstances exceptionnelles.
Le PPC est le seul parti fédéral à vouloir aborder cette question ouvertement et avec franchise. Les partis de l’establishment soutiennent pleinement l’avortement à tous les stades de la grossesse ou ont trop peur des activistes pro-avortement pour s’attaquer au problème. Le chef conservateur Pierre Poilievre a déclaré à maintes reprises qu’il est pro-choix et qu’il ne veut pas rouvrir ce débat.
Les Canadiens sont prêts pour ce débat. Les sondages réalisés au fil des ans montrent régulièrement qu’une majorité d’entre eux croient qu’il devrait y avoir une loi interdisant l’avortement au moins pendant le troisième trimestre, à moins que la vie de la mère ne soit en danger.
A People's Party government will:
Brisera le tabou entourant l’avortement et encouragera une discussion ouverte, respectueuse et factuelle sur cette question. Mettra les autres partis politiques au défi d’expliquer pourquoi ils croient qu’il est moralement acceptable de tuer un enfant à naître en bonne santé et viable, et pourquoi cela devrait rester légal.
Déposera le Projet de loi sur la protection des enfants à naître afin d’aligner la législation canadienne sur celle des autres pays civilisées, où l’avortement est progressivement restreint après le premier trimestre et les avortements tardifs sont interdits sauf dans des circonstances exceptionnelles. Les députés du PPC seront libres de voter sur la question de l’avortement selon leur conscience.